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Les alternatives que l'on entend développer à la rétention

Publié le : 01/10/2012

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Jusqu'à 16 heures de privation de liberté au lieu de quatre pour un simple contrôle d'identité : les étrangers non communautaires resteront donc soumis à un dispositif spécial d'exception, qui déçoit les associations. Le délit de solidarité avec des sans-papiers, en revanche, va être supprimé.

Mais pour Pierre Henry, directeur général de l'association France terre d'asile, cette proposition devra s'inscrire dans un projet de loi plus global.

Pour écouter sa réaction, cliquez ici.

RFI, le 28/09/2012