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Depuis plus de 50 ans, nous nous mobilisons aux côtés des personnes exilées en France, pour les accompagner au quotidien, défendre leurs droits et promouvoir une vision réaliste, apaisée et solidaire des migrations. En 2025, cet engagement s’est incarné à travers de nombreuses missions de terrain et de plaidoyer. Retour sur quelques-unes de ces actions.
Depuis mai 2024, nos collègues Yadh Bousselmi, Mohamed Joo et Sherifa Riahi sont détenu·es de manière injustifiée en Tunisie, accusé·es à tort dans le cadre de leurs missions d’aide aux personnes réfugiées sur le sol tunisien. Après plus de 19 mois de détention, le procès s’est ouvert le 15 décembre. Cette audience s’est conclue par un renvoi au 5 janvier et par le maintien en détention de nos collègues.
Les 14 et 15 novembre, France terre d’asile organisait la première édition du festival Exilées au Ground Control, à Paris. L’objectif : remettre la parole des femmes exilées au centre pour défendre leurs droits et construire un accueil digne.
Le 11 décembre, une proposition de loi visant à protéger les mineur·es non accompagné·es et à lutter contre le sans-abrisme des enfants en France sera présentée à l’Assemblée nationale. Quelle que soit votre sensibilité politique, vous aurez le pouvoir de mettre un terme à une situation intolérable dans notre République : des milliers d’enfants dorment dehors faute d’une protection qui devrait leur être garantie.
Des jeunes de la Maison d’accueil et d’orientation du Clos des Rosiers, à Châtillon, ont participé à un atelier photo qui a donné lieu à une exposition présentée lors de la Fête de l’Humanité. Ces clichés sont des portraits, mais pas seulement : ils ont permis aux jeunes du foyer, marqués par des parcours migratoires souvent difficiles, de se réapproprier leur image et de renforcer leur estime de soi.
Alors que les femmes représentent plus de la moitié des personnes migrantes en France, les politiques d’accueil et d’intégration ne sont pas pensées en fonction de leurs besoins spécifiques, ce qui crée ou exacerbe des situations de vulnérabilité. Nous avons rencontré Marie Lazzaroni, responsable de la Promotion de l’égalité au Samusocial de Paris, afin d’analyser les conséquences de la précarité sur les parcours d’insertion des femmes exilées.
Depuis 2015, la lutte contre la migration irrégulière a vu son budget tripler dans les lois de finances annuelles. Parallèlement, les sommes allouées à l’accueil et l’intégration des personnes exilées, qui diminuent pour la deuxième année consécutive, ne permettent pas de répondre aux besoins d'accompagnement.s.
Alors que le Parlement européen et le Conseil doivent se positionner sur la proposition de règlement retour, nous appelons les député·es européen·nes et le gouvernement français à s'opposer à ce texte qui aurait de graves conséquences sur les droits des personnes étrangères.
À l’heure des discussions autour du projet de loi de finances 2026, France terre d'asile dévoile un plan d'action qui met en avant les conséquences économiques positives que pourraient avoir des politiques plus humaines et efficaces.
De 2020 à 2025, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU a enquêté sur l’accueil des mineur·es non accompagné·es en France. Ce rapport, rendu public le 16 octobre 2025, met en évidence des violations graves et systématiques de leurs droits.
Participez à notre table ronde à l'Académie du climat le 7 octobre à 18h30 !
À l’occasion de la biennale environnementale et sociale 2025, France terre d’asile et Photoclimat présentent « Résonances » : une installation photographique inédite qui déconstruit la frontière symbolique souvent établie entre les personnes migrantes et le reste de la population. À découvrir jusqu'au 12 octobre, place de la Concorde (Paris).
France terre d'asile rend hommage à Abdulwaris S., décédé tragiquement fin août à Paris.
L’accès aux soins psychologiques est toujours difficile en France, en particulier pour les personnes exilées. Découvrez notre interview avec Maxime Guimberteau du Centre Primo Levi pour en savoir plus.
En France, le mal-logement touche chaque année un nombre croissant d’enfants, notamment migrants. Leurs conditions de vie dégradées altèrent leur état de santé et entravent leur accès à l’alimentation, à un environnement de vie stable et à la scolarisation. Pour leurs familles et les associations concernées, faire respecter leurs droits est un combat quotidien..
Avec d'autres associations et juristes, nous alertons le Conseil constitutionnel sur la loi permettant l'allongement de la durée maximale de rétention administrative.
Le 11 juillet 2025, la CNDA a rendu une décision reconnaissant le statut de réfugié d'une ressortissante palestinienne et son fils, en raison de risques de persécutions personnelles liées à leur nationalité palestinienne par les autorités israéliennes. Retrouvez notre communiqué.
À Briançon, dans les Hautes-Alpes, la militarisation de la frontière et les refoulements fréquents empêchent des personnes d’entrer sur le territoire français et de demander l’asile. Dans ce contexte, le tissu associatif s’organise pour mettre à l’abri, soigner et orienter inconditionnellement les personnes qui traversent la frontière franco-italienne.
En mars et mai 2025, deux propositions de loi sur la rétention des personnes étrangères ont été adoptées au Sénat, l’une visant à allonger la durée de rétention et l’autre à mettre fin à l’intervention des associations dans les centres de rétention administrative.
À l’occasion de la Journée mondiale des personnes réfugiées, célébrée chaque 20 juin, les établissements de France terre d’asile se sont mobilisés partout en France pour faire connaître les réalités de l’exil et organiser des moments festifs avec celles et ceux que nous accompagnons.
Le 1er juillet, les député·es seront amené·es à se prononcer en séance publique sur la proposition de loi visant à allonger la durée maximum possible d’enfermement de nombreuses personnes étrangères en centres de rétention administrative.
L’association Acceptess-T accompagne depuis 15 ans les personnes trans, notamment exilées, dans leurs démarches administratives, sociales et dans l’accès aux soins. France terre d’asile a rencontré deux membres d'Acceptess-T.
France terre d'asile aux côtés d'autres associations publient le rapport « la sécurité alimentaire en Hébergement d’Urgence pour Demandeurs d’Asile (HUDA) », une enquête menée auprès de 99 ménages hébergés dans 11 structures HUDA franciliennes.
Depuis 2023, France terre d’asile organise des ateliers participatifs dans ses centres d’accueil pour demandeurs d’asile dans le cadre du projet AMAL. L’objectif : créer un espace d’expression libre et renforcer l’autonomie des femmes migrantes.
Yadh Bousselmi, Mohamed Joo et Sherifa Riahi, trois salarié·es de France terre d’asile en Tunisie, sont détenu·es injustement dans le cadre de poursuites liées à nos actions d’accompagnement des personnes migrantes sur le sol tunisien. Dans une tribune, Najat Vallaud-Belkacem, présidente de France terre d’asile, appelle à leur libération immédiate.
Nos associations alertent sur les violations des droits et l’utilisation abusive de l’enfermement.
Le 13 février 2025, 40 associations, dont France terre d’asile, ont attaqué l’État en justice pour non-assistance à personnes mal logées. Une procédure qui intervient alors que l’État vient déjà d’être condamné par la Cour administrative de Bordeaux pour « carence » dans l’hébergement d’urgence des personnes exilées.
Ikambere, la « Maison accueillante » en Kinyarwanda (langue parlée au Rwanda), a été fondée en 1997. La maison accueille aujourd’hui des femmes de toutes les origines vivant en situation de précarité et avec le VIH.
France terre d’asile dépose avec 9 autres associations un recours devant le Conseil d’État pour « carence fautive » dans l’Administration numérique des étrangers en France.
Des salariés de l'antenne tunisienne de France terre d'asile sont poursuivis par les autorités tunisiennes. Nous appelons à un examen juste des faits et espérons que l’innocence de nos collègues sera reconnue afin qu’ils puissent retrouver au plus vite leur liberté.
De plus en plus de femmes migrent seules : en 2020, près d’une femme demandeuse d’asile sur deux est arrivée seule en France. Isolement, hébergement inadapté, situations de rue… Ces femmes sont d’autant plus touchées par les violences notamment sexuelles et les risques d’exploitation.
Trente-deux résident·es du Centre provisoire d’hébergement (CPH) de France terre d’asile à Saint-Lô ont participé à la réalisation d’un livre sur les émotions, mêlant photographies et témoignages. Une manière d’extérioriser leurs ressentis et de travailler à leur reconstruction.
Pour une mise en œuvre du pacte qui respecte les droits fondamentaux des personnes migrantes, protège les personnes vulnérables, et garantisse des conditions d’accueil dignes.
20 novembre 2025, 08:10
Lire la suite 31 octobre 2025, 08:14
Lire la suite 26 septembre 2025, 08:15
Lire la suite 03 décembre 2025, 07:00
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